Un samedi ordinaire
BAM BAM BAM ! 3 coups frappés contre le mur me rappellent à l'ordre.
4h54.
Bord d'aile !
Je viens tout juste de me rendormir après une rage de dents. Cyran me prévient que Ziggy est réveillé. Génial.
Bon, je me lève. Le jeune homme est assis dans son lit, en pleine forme. Impossible de le recoucher. Si je le laisse dans sa chambre il va empêcher Cyran de dormir et réveiller tout l'immeuble. Je le prends donc avec moi.
Pendant environ une heure j'essaie de l'assommer à coups de berceuse. Peine perdue, je ne réussi qu'à réveiller ma douleur dentaire. Le temps d'aller prendre une aspirine, le ouistiti hurleur panique : il croit que je l'ai abandonné. Je me recouche. C'est alors qu'il passe à l'attaque : ascencion du dos de maman à grands coups de pied dans les omoplates, prises d'escalade dans les cheveux. Je rends les armes sur le coup de 6h. J'allume la lumière et nous nous retrouvons, moi totalement comateuse sous la couette remontée au-dessus des oreilles, lui par terre en train de jouer avec mes bouquins.
Ouf.
Un peu de répit. Jusqu'à 6h59, heure à laquelle il allume France Culture.
Le pire, c'est qu'il est en pleine forme, le salopiot. On dirait qu'il est monté sur ressorts. On m'avait déjà dit à l'époque que mes aînés étaient hyperactifs. Mais celui-ci ? Il faudra inventer un mot pour le dictionnaire.
Une chose est sûre, il va attaquer l'athlétisme à 3 ans. Il n'y aura que ça pour le calmer !
Un de ces jours je raconterai une journée ordinaire. Là, c'est juste la bande-annonce.
4h54.
Bord d'aile !
Je viens tout juste de me rendormir après une rage de dents. Cyran me prévient que Ziggy est réveillé. Génial.
Bon, je me lève. Le jeune homme est assis dans son lit, en pleine forme. Impossible de le recoucher. Si je le laisse dans sa chambre il va empêcher Cyran de dormir et réveiller tout l'immeuble. Je le prends donc avec moi.
Pendant environ une heure j'essaie de l'assommer à coups de berceuse. Peine perdue, je ne réussi qu'à réveiller ma douleur dentaire. Le temps d'aller prendre une aspirine, le ouistiti hurleur panique : il croit que je l'ai abandonné. Je me recouche. C'est alors qu'il passe à l'attaque : ascencion du dos de maman à grands coups de pied dans les omoplates, prises d'escalade dans les cheveux. Je rends les armes sur le coup de 6h. J'allume la lumière et nous nous retrouvons, moi totalement comateuse sous la couette remontée au-dessus des oreilles, lui par terre en train de jouer avec mes bouquins.
Ouf.
Un peu de répit. Jusqu'à 6h59, heure à laquelle il allume France Culture.
Le pire, c'est qu'il est en pleine forme, le salopiot. On dirait qu'il est monté sur ressorts. On m'avait déjà dit à l'époque que mes aînés étaient hyperactifs. Mais celui-ci ? Il faudra inventer un mot pour le dictionnaire.
Une chose est sûre, il va attaquer l'athlétisme à 3 ans. Il n'y aura que ça pour le calmer !
Un de ces jours je raconterai une journée ordinaire. Là, c'est juste la bande-annonce.